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L'Art à travers le  Monde
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L'Art à travers le Monde
  • Ce blog est un inventaire, créé au travers des sites que je visite. J'y sélectionne ce qui me plaît. Je vous présente des portes. A vous de les ouvrir ou de les laisser closes. Je ne garde rien, Je veux que ces créateurs soient connus du plus grand nombre.
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29 mars 2013

la Cathédrale de Liège

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28 mars 2013

le Sreet-Tricot ou Yarn-Bombing

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Connaissez vous le Sreet-Tricot ou Yarn-Bombing...?

"Art qui renouvelle le Graff en version Rainbow Warriors.
  Mouvance artistique au carrefour du Land Art, Pop'Art et Sreet-Art"
       Qui met du peps et de la Joie dans notre quotidien?

 

Alors vite à nos aiguilles!

ATT000~11211Lien

              http://www.boumbang.com/le-yarnbombing

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28 mars 2013

Françoise Petrovitch

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Francoise Petrovitch

Commence aujourd’hui : 28 mars → 11 mai 2013

Délaissée au profit du dessin et de la céramique, la peinture s’est à nouveau imposée à Françoise Pétrovitch pour donner une nouvelle dynamique à sa réflexion. À l’éphémérité de l’encre sur papier, elle revient aujourd’hui vers une stabilité de l’huile sur toile. Un choix technique d’abord lié à un plaisir du traitement de la matière, de la couleur et de la forme. L’artiste savoure la sensation de perdition, le sentiment d’une totale remise en question du dessin et de l’éloignement du sujet.

Depuis trois ans, elle développe trois registres, les Nocturnes, les Colorées et les Gants, qui lui permettent d’explorer différentes lumières, tonalité et gestuelles. Les Coloréesaffirment une présence, les figures nous regardent. Les Nocturnes sont muettes, les êtres nous tournent le dos, leurs yeux sont clos ou bien dirigés vers le sol. Au rayonnement et à l’ouverture recherchés dans ses peintures aux accents plus acidulés, l’artiste favorise l’intériorité, l’énigme et le caractère insaisissable de ces corps recentrés sur eux-mêmes. Les Gants tendent vers l’abstraction, le sujet disparaît silencieusement. Les cadrages enserrés sur les mains tenant des paires de gants conduisent vers une perte des repères, du dessin.

Une attention particulière est donnée aux gestes et aux enjeux de la peinture. Le fond et le sujet s’entremêlent doucement, ils se font paysages. Réel et irréel se tutoient. Les œuvres génèrent une ambiguïté, un trouble. Les grilles de lectures oscillent entre bienveillance et cruauté, politesse et transgression, naïveté et souffrance, lumière et obscurité. Les figures ne sont pas bavardes, ici la narration est à peine amorcée, rien de plus. La solitude, la violence, le doute ne sont pas immédiats, les apparences sont trompeuses. Des indices chromatiques et symboliques nous amènent vers des territoires complexes et souvent emprunts d’un malaise. Des mains raidies, des larmes aux yeux, un regard fuyant, une tête penchée. Un malaise est installé. Les figures semblent livrées à elles-mêmes, elles sont comme suspendues dans un espace flottant, indéfini. Elles s’accrochent à des objets ou à des petits animaux mi-morts, mi-vivants. Une fillette serre le cou d’un corbeau, une autre s’agrippe à un faon sanguinolent, un garçon nous présente un poussin irradiant, des mains nous présente un oiseau mort. L’enfance est un prétexte pour nous parler des failles humaines que Françoise Pétrovitch sonde sans relâche non pas pour y apporter des réponses, mais plutôt pour leur donner une chair, une réalité (é)mouvante.

Julie Crenn

  • Vernissage Jeudi 28 mars à 18:00

 

54, rue Chapon
75003 Paris

T. 09 79 26 16 38

 

ATT000~11211

 

www.semiose.com

Arts et Métiers

Réaumur – Sébastopol

Horaires

Du mardi au samedi de 11h à 19h
Et sur rendez-vous

28 mars 2013

Petra Kohle & Nicolas Vermot

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Petra Kohle & Nicolas Vermot Petit-Outhenin

Commence aujourd’hui : 13 mars → 11 mai 2013

10, rue Jouye-Rouve
75020 Paris

ATT000~11211

www.galeriederoussan.com   http://www.galeriederoussan.com/

 

Dans sa collection d’essais On Photography (1977), Susan Sontag souligne le fait que même si la photographie semble plus proche de la réalité qu’un dessin ou une peinture, elle ne fait pas exception au trafic entre l’art et la vérité.

L’idée reçue que l’appareil photographique ne ment jamais est le point de départ des nouvelles recherches du duo suisse Petra Köhle et Nicolas Vermot Petit-Outhenin. Ces recherches, qui mettent en lien les processus de sélection invisibles de la photographie — le tri et l’exclusion — avec d’autres pratiques discriminantes, que celles-ci soient culturelles, politiques ou issues de systèmes d’archivage, constituent une réflexion sur la fugacité de la vérité.

L’exposition It depends entirely upon the hue of the lighting s’appuie sur la transcription de deux entretiens que les artistes ont mené avec Rosemarie Nohr, ancienne étudiante à l’institut de photographie couleur de Leipzig au début des années 1940. Leur travail lie les deux espaces de la galerie : au rez-de-chaussée, de grandes photographies monochromes rectangulaires reprennent les couleurs primaires et complémentaires pour évoquer l’objectivité des systèmes de mesure de la couleur employés dans la photographie — lesquels exercent une autorité en dépit de leur supposée neutralité. Les monochromes illustrent aussi le fait que les termes de couleurs primaires et complémentaires surgissent beaucoup plus souvent que d’autres mots au cours des deux entretiens tout en constituant une constante photographique à travers le temps.

A proximité de cette série, des émulsions photographiques sont directement développées sur le mur et représentent trois étonnantes natures mortes faites par Rosmarie Nohr durant ses études, sous entendant que la photographie a pu devenir pour elle un élément de substitution pour tout ce qu’elle était incapable de dire ou de faire sous le régime nazi. Accrochées au mur, trois natures mortes encadrées et réalisées par les artistes, dans les mêmes soucis formels que ceux de Nohr, viennent estomper les différences spatio-temporelles entre leur travail et le sien questionnant ainsi les raisons de l’avènement de tels évènements politiques et la manière dont des situations similaires devraient être abordées aujourd’hui.

La performance au sous-sol approfondit la réflexion développée par les œuvres du rez-de-chaussée. A côté d’une table, trois chaises et deux natures mortes sous verre, réalisées cette fois-ci par Nohr, un rideau molletonné absorbant la lumière est suspendu au plafond. Il fait apparaître les artifices d’un studio de photographe et rappelle l’installation des artistes en 2012 Exercice d’isolation, laquelle soulignait la dépendance du photographe au rideau molletonné et au projecteur en vue de diriger et de concentrer le regard du spectateur sur une zone spécifique de l’image. La déformation de la réalité pour répondre aux attentes photographiques rappelle les remarques de Vilém Flusser sur les équipements photographiques ou techniques et le danger de les laisser nous diriger plutôt que de les diriger nous-mêmes.

Les souvenirs de Nohr sont encore plus sélectifs quand il s’agit d’évoquer sa participation au projet de Hitler qui souhaitait créer des archives photographiques détaillées d’importantes peintures murales en vue de pouvoir les reconstituer en cas de destruction — projet évoqué par l’œuvre murale du rez-de-chaussée. À cette époque, il ne lui est pas venu à l’esprit de mettre en question les critères de sélection de ces travaux, tout comme elle ignorait le lien entre ces critères et la mise à l’index de certains types d’art considérés comme « dégénérés ». Dans le même sens, elle écarte continuellement les questions politiques et éthiques durant les entretiens : sa focalisation sur des questions techniques élude les problématiques de responsabilité — comme le suggère le titre de l’exposition.

La scénarisation des performances révèle la problématique de la responsabilité: les rôles sont constamment alternés entre le lecteur A, le lecteur B et le lecteur C. Cela marque la nature collective de la responsabilité et l’implication de nous tous dans des règles et systèmes, que nous imposons ou auxquels nous adhérons.

En invitant par ailleurs les membres du public à participer à la lecture des dialogues, It depends entirely upon the hue of the lighting commente autant le passé que le présent : cette invitation au public souligne l’importance de se manifester — et,au-delà, de parler avec franchise — et en même temps nous demande de réfléchir aux actions sélectives que nous effectuons nous-mêmes. Traduite dans la langue du pays où la performance a lieu — le français dans ce cas — la transcription expose les souvenirs de Nohr à d’autres contextes socioculturels, générant ainsi de nouvelles interprétations et comparaisons avec des situations analogues passées ou présentes. En dissociant de tels comportements de Rosmarie Nohr elle-même et en les transposant à d’autres périodes, l’exposition met en lumière leur récurrence continuelle. Evoquant ainsi le concept nietzschéen de l’« éternel retour », elle souligne en même temps que ces comportements ne peuvent pas pour autant être tolérés. Tel est le compromis entre l’art et la vérité.

Rahma Khazan

  • Vernissage Mercredi 13 mars 17:00 → 21:00

 

28 mars 2013

Yang Yongliang

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Yang Yongliang
The Silent Valley

Commence aujourd’hui : 14 mars → 27 avril 2013

Ancien disciple de Yang Yang, grand maître de la calligraphie et du Shanshui1, Yang Yongliang combine subtilement cet art millénaire avec les nouveaux médias en créant un univers à la fois futuriste et ancestral. Renouveau contemporain de la peinture traditionnelle chinoise, ses montages photographiques prennent forme sur de longs rouleaux panoramiques et sont imprimés sur papier coton, en noir et blanc comme à l’encre de Chine. Lorsque l’on regarde les œuvres à distance, elles relèvent de la calligraphie aux paysages naturels et embrumés des temps anciens mais en s’approchant, on s’aperçoit que l’imagerie urbaine contemporaine est omniprésente.

Dans la série The Silent Valley, un personnage vêtu de blanc, figure emblématique de la sagesse ancestrale, erre dans une vallée parsemée non plus d’arbres centenaires et de cascades, mais de pylônes électriques et de champs de mines. A l’horizon, des étendues de gratte-ciels ont pris la place des montagnes sacrées … Les images de la série The Moonlight sont une représentation avant-gardiste du développement tentaculaire et des bouleversements qui attendent nos mégalopoles. Retro éclairées par des light boxes, elles nous plongent dans une dimension onirique, entre rêve et cauchemar. La vidéo The Day of Perpetual Night anime cette même vision insomniaque de cités grossissant à un rythme infernal et dont les lumières artificielles ne permettraient plus aucune distinction entre le jour et la nuit.

Sublimes et visionnaires, les œuvres de Yang Yongliang nous dérangent et nous interrogent sur l’avenir de la planète et nos modes de vie toujours plus menacés par une urbanisation galopante.

Yang Yongliang est né en 1980 à Shanghai. Photographe, peintre, vidéaste et plasticien, il enseigne au Shanghai Institute of Vision Art. Son travail fait l’objet d’un vif engouement de la part du public et des médias, ses œuvres sont abondamment collectionnées et exposées entre autres par le MoCA (Shanghai), le Bates College Museum of Art (Etats-Unis), par le British Museum et la Red Mansion Foundation. L’artiste a obtenu le Prix de la Découverte aux Rencontres d’Arles 2009. Plus récemment (2012-13), son œuvre a été exposée à l’exposition Babel au Palais des Beaux-Arts de Lille.

 

54, rue du Vertbois
75003 Paris

T. 01 42 74 32 36

ATT000~11211

www.galerieparisbeijing.com

Arts et Métiers

Horaires

Du mardi au samedi de 11h à 19h

 

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26 mars 2013

Le jardin du Luxembourg

Jardin du Luxembourg 2012 2013 (58)

 

J'ai  visité  le Jardin du Luxembourg

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Jardin du Luxembourg 2012 2013 (42)

 

Parmi les nombreux parcs de Paris, le Jardin du Luxembourg est certainement l’un des plus prisés des Parisiens, des étudiants et des touristes. Fascinés par ce poumon vert historique au centre de la capitale, ils apprécient le spectacle de verdure agrémentée d’innombrables statues, de terrains de jeu et du célèbre théâtre de marionnettes de guignol.

Composé en grande partie d’un jardin à la française, ce lieu de rendez-vous du Tout-Paris offre également des zones de repos grâce au jardin anglais, situé le long des rues Guynemer et Auguste-Comte. Il est enrichi d’un verger et de quelques vignes.

Le parc doit son succès à ses arbres magnifiques, notamment les beaux marronniers et les paulownias. Une petite orangerie abrite des lauriers-roses, des palmiers, des camphriers mais aussi des grenadiers.

Dans la partie du jardin « à la française » situé dans l’axe du Palais du Luxembourg, un espace dégagé créé par Le Nôtre est organisé autour d’un bassin octogonal.

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Un peu d’histoire

Le Jardin du Luxembourg a été créé en 1617 et doit son nom au duc de Piney-Luxembourg, propriétaire du domaine ultérieurement racheté par Marie de Médicis, veuve du roi de France Henri IV. La reine d’origine italienne souhaitait édifier un bâtiment lui rappelant le palais Pitti, ainsi que la création de jardins évoquant ceux de Boboli à Florence. La construction du Palais (actuel Palais du Luxembourg) a été confiée à Salomon de la Brosse, s’ouvrant sur un parc de huit hectares. On y planta plus de 2000 ormes et de grands parterres furent aménagés. Les fontaines étaient quant à elles alimentées par l’aqueduc d’Arcueil, récemment construit.

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La plus célèbre d’entre elles, la Fontaine Médicis, date des années 1630 et fut commandée par Marie de Médicis à l’ingénieur florentin Thomas Francine. Initialement nommée « Grotte du Luxembourg », elle se compose d’un portique de style italien à lequel on a ajouté une fontaine et un bassin de forme allongée. Plusieurs modifications y ont été apportées.

En 1863, Auguste Ottin l’a notamment agrémentée d’un groupe de trois personnages mythologiques : « Polyphème surprenant Galatée dans les bras d’Acis ». Dans une niche, le cyclope Polyphème, amoureux de Galatée, belle et jeune déesse marine, la surprend dans les bras d’Acis. Accroupi sur un rocher, le sombre cyclope s’apprête à écraser le couple enlacé au bord de l’eau.

Lorsque la rue de Médicis fut percée dans le cadre des grands travaux d’urbanisme du préfet Haussmann, la fontaine a été déplacée vers son emplacement actuel en 1862. Le bassin précédant la fontaine se dévoile dans un cadre de verdure superbe et la forme même du bassin procure l’illusion que le plan d’eau est incliné. La Fontaine de Léda, autrefois située à l’angle des rue du Regard et de Vaugirard, a été remontée contre la face arrière du portique.

Le jardin a été plusieurs fois remanié et agrandi. L’architecte Le Nôtre aménagea au centre du jardin à la française un grand bassin octogonal sur lequel flottent de petits bateaux. Du jardin dessiné pour Marie de Médicis, il ne reste aujourd’hui plus grand-chose, mis à part l’orangerie et la Fontaine Médicis d’inspiration florentine. A partir de 1810, l’espace de verdure du parc est prolongé au sud par les jardins de l’avenue de l’Observatoire.

 

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 Dès 1642, le Jardin du Luxembourg est ouvert au public par Gaston d’Orléans, le frère cadet de Louis XIII qui en hérite. Les premiers visiteurs sont des bourgeois du quartier, des ecclésiastiques, des gens de lettres et des bonnes d’enfants qui doivent louer les chaises à une loueuse installée devant le palais. Aujourd’hui, le parc est l’espace de verdure favori des étudiants des universités du Ve arrondissement tout proche.

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Les statues du Jardin du Luxembourg

Les innombrables statues qui parsèment le parc depuis le règne de Louis-Philippe ajoutent au caractère romantique du lieu.

Les fameuses statues des « Reines de France et Femmes illustres » ont été exécutées sous le règne de Louis-Philippe (vers 1843) par les plus grands sculpteurs de l’époque. Cette série de vingt sculptures en marbre a été disposée sur les terrasses à gauche et à droite du grand bassin, devant le palais du Luxembourg.

Installée dans le jardin du Luxembourg depuis 1906, une copie en bronze de la Statue de la Liberté offerte par Frédéric Auguste Bartholdi est certainement la statue la plus insolite du parc.

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Le Jardin du Luxembourg : un espace de loisir

Le Jardin du Luxembourg abrite plusieurs équipements qui font la joie des enfants et des plus grands.

On ne peut mentionner le jardin sans décrire le jeu de paume, le terrain de pétanque, les terrains de tennis, les terrains de jeu pour enfants, le manège de chevaux en bois et le fameux théâtre de marionnettes de Guignol.

A l’extrémité sud-ouest du jardin, un rucher-école produit quelques centaines de kilos de miel par an.

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Créé  en 1856, le rucher a été reconstruit en 1991. Il est flanqué d’un verger contenant plus de 700 pommiers et poiriers, ainsi que de vignes.

Le kiosque à musique a été construit dans le parc en 1879, au même moment que le manège de chevaux en bois, sur les plans de Charles Garnier. Des concerts de fanfare sont toujours programmés sous le kiosque.

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20 mars 2013

Gilbert LEGRAND

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ATT000~11211LIEN EXTERNE DE L'ARTISTE  http://gilbert-legrand.com/

Gilbert LEGRAND (Sculpteur)

L'art du détournement d'objets

Le designer et plasticien Gilbert Legrand, diplômé des Arts Appliqués de Paris en Arts plastiques et Design, est un artiste génial qui sait nous surprendre avec humour dans le détournement de divers objets du quotidien, robinets, balai-brosse, cintre, ustensile de cuisine, etc...

Des sculptures de personnages peintes qui sont pleines d'humour et de poésie

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17 mars 2013

Peintures surréaliste

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17 mars 2013

Cartes postales anciennes


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15 mars 2013

Jaïr Sfez

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Jaïr SfezCourtesy of the artist & Republic Gallery, Paris

Jaïr Sfez
Nubivagus

Encore 16 jours : 14 → 30 mars 2013

38, rue Notre Dame de Nazareth
75003 Paris

www.republicgallery.fr

République

Strasbourg Saint-Denis

Temple

Horaires

Du mardi au samedi de 14h à 19h
Et sur rendez-vous

 

Né à Paris en 1978, Jaïr Sfez découvre la photographie en Afrique. Après avoir appris le métier de dresseur d’animaux pour le cinéma, il part travailler dans une réserve d’éléphants au cœur du Burkina Faso. Profondément inspiré par la beauté des paysages, de la lumière et des visages qu’il découvre alors, il embrasse la vocation de photographe.

De retour à Paris, il se lance dans la photographie de mode et le portrait et remporte le Prix Picto de la Jeune Photographie de Mode. Depuis, il contribue à de nombreux magazines français et internationaux : Vogue, Interview, L’Officiel, Jalouse, L’optimum, Harpers Bazar.

Au gré de ses expérimentations, il cherche constamment à provoquer l’accident au sein de ses images. Les effets optiques et les jeux de reflets qu’il utilise profilent les contours de son style souvent sombre et inquiétant, mais toujours teinté de romantisme et de mélancolie.

Dans ce travail plus personnel, Jaïr délaisse l’humain pour se concentrer sur la matière. Il façonne et colore les nuées, à la manière de l’impressionniste William Turner, source d’inspiration de l’œuvre Nubivagus.

Cette création photographique exutoire est au service de la « nébulomancie », néologisme d’un art divinatoire qui permet aux personnalités éclairées la lecture du passé, du présent et de l’avenir, dans les remous graduels des volutes de fumée.

C’est en projetant ses lumières sur la matière nébuleuse que l’artiste nous dévoile ses espoirs et ses craintes, ses dieux et ses démons.

 

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13 mars 2013

Musée de l'HERMITAGE

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Musé de l' HERMITAGE

 

Le BÂTIMENT

Le musée de l'Ermitage est la meilleure galerie d'art en Russie, l'un des musées les plus importants au monde et certainement la principale attraction touristique de Saint-Pétersbourg.

Le bâtiment principal du musée de l'Ermitage est le Palais d'Hiver, Rastrelli (1754-1762), de style baroque, les œuvres les plus remarquables de l'âge et de résidence des tsars russes pour un certain tempo. Son premier occupant fut la Grande Catherine, qui a construit le premier Hermitage, près de la résidence impériale. Vingt ans plus tard a été agrandi pour accueillir leur collection d'art extraordinaire. En outre prolongé par les successeurs de Catherine, l'ensemble et le Palais d'Hiver est devenu une partie du musée de l'Ermitage.

Ces bâtiments constituent un énorme: le Palais d'Hiver, le Petit Ermitage, le Grand Ermitage et, plus récemment, le Nouvel Ermitage. Le théâtre de l'Ermitage - le théâtre privé des Tsars - est un amphithéâtre magnifiquement décorée où cesse d'organiser des conférences, des concerts et des opéras et des ballets.

 Une grande partie de la magnifique intérieur du palais a été rénové après l'incendie de 1837, qui a partiellement détruit le bâtiment. Architectes célèbres, à la fois russes et étrangers, a beaucoup travaillé pour cette résidence impériale restait considéré comme l'un des palais les plus fins et les plus luxueux du monde.

Le musée expose des pièces rares de l'Antiquité, une collection de peintures de Titien, Raphaël, Rubens, Van Dyck, Rembrandt et Leonardo da Vinci; toiles des impressionnistes et postimpressionnistes français, Rodin sculptures, Antonio Canova, etc. . La collection est vaste et variée, avec une attraction irrésistible pour ceux qui s'intéressent à l'art et l'histoire.

LES PEINTURES

Le musée de l'Ermitage est l'un des plus grands, les galeries d'art les plus anciennes et les plus importantes dans l'histoire du monde et de la culture. Les vastes collections Hermitage sont affichés dans plusieurs bâtiments, dont le principal est le Palais d'Hiver, qui fut la résidence officielle des tsars russes.

La collection Musée de l'Ermitage renferme des spécimens de différentes époques de la peinture mondiale et d'autres collections y compris les objets de la couronne russe, la variété de bijoux de Fabergé et la plus grande collection d'antiques richesses existantes en Europe orientale et en Asie Occidental.

La collection de l'Ermitage a commencé quand la Grande Catherine acheté plus de 200 toiles en Europe. Peu de gens ont été autorisés à voir ces trésors. Dans une lettre à l'impératrice a déploré que "seulement ma famille et je peux admirer ce."

 

Peu à peu, au fil du temps, la collection impériale a été enrichie par l'acquisition de reliques ici et là, et il ya quelques années et comprend une portion substantielle des trésors de Troie - à la suite des fouilles de l'archéologue allemand Heinrich Schliemann - volés dans des musées Berlin par l'armée russe en 1945, après la Seconde Guerre mondiale.

Les tsars russes toujours suivi accroître ses collections d'art et de nombreuses œuvres de Léonard de Vinci, Raphaël Jan Van Eyck et ont été achetés en Italie. Les œuvres de Rembrandt est considéré comme le plus grand du monde.

Les SCULPTURES

Une vie ne suffit pas de visiter toutes les collections du musée

Hermitage, estimée à trois millions de pièces. Quelqu'un calcule que neuf ans serait le tempo estimé juste passer le point de vue de l'ensemble des œuvres présentées en 1057 théâtres.

Catherine la Grande a été chargé de lancer l'impératrice de la collection d'art est aujourd'hui considéré comme l'un des plus complets dans le monde et qui comprend égyptien, byzantin, indien, islamique, chinoise, japonaise, thaï, caucasien, mongole et tibétaine, bijoux de l'Est d'ailleurs, Occidental, la numismatique, l'art préhistorique, de la porcelaine et des antiquités.

La collection Musée de l'Ermitage comprend des sculptures de tous les temps et les nations. Dans cet article, nous présentons un petit échantillon de l'acquis superbe démonstration de la beauté intemporelle à la disposition des visiteurs. 

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12 mars 2013

Benjamin Lacombe

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Benjamin est né à Paris en 1982.


En 2001, il entre à l'Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris (ENSAD), où il suit saformation artistique. Parallèlement à ses études, il travaille en publicité et dans l'animation et signe à 19ans sa première bande dessinée et quelques autres livres illustrés...
Son projet de fin d'études, "Cerise Griotte", dont il est l'auteur et l'illustrateur, devient son premier livrejeunesse et sort aux éditions du Seuil jeunesse en mars 2006. Il est publié l'année suivante par WalkerBooks (USA) et est nommé par le prestigieux hebdomadaire Times Magazine comme l'un des 10 meilleurs livres jeunesse de l'année 2007 aux Etats –Unis.
Depuis, Benjamin a écrit et illustré de nombreux livres. Il a notamment travaillé avec Albin Michel,Barefoot Books(USA), Edelvives (Espagne), Hemingway Korea (Corée), Milan, MaxMilo, Sarbacane, Soleil,Walker Books (USA) et bien sûr le Seuil Jeunesse, éditeur avec lequel il a publié la plupart de ses livres.
Benjamin expose regulièrement son travail. Il a entre autre été exposé dans les galeries : Ad Hoc Art (NewYork), L'Art de rien (Paris), Dorothy Circus (Rome), Maruzen (Tokyo), etc...
Benjamin vit et travaille à Paris avec son chien Virgile, qui se faufile bien souvent dans ses livres..

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7 mars 2013

Shane (Art sur papier adhésif)

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SHANE

blog.shanegraphique.com

Les artistes restent créatifs et trouvent toujours de nouveaux supports pour travailler leur imagination. Prenons l’exemple de Max Zorn, un artiste Néerlandais qui utilise du ruban adhésif pour réaliser ses ouvres ! Découvrez ses dernières réalisations ainsi qu'une courte vidéo qui présente son savoir-faire unique en son genre.
Shane

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5 mars 2013

Jim Carson

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